Les hommes sont des mystiques de la mort dont il faut se m fier.
La position de l'homme au milieu de son fatras de lois, de coutumes, de d sirs, d'instincts nou s, refoul s, est devenue si p rilleuse, si artificielle, si arbitraire, si tragique et si grotesque en m me temps, que jamais la litt rature ne fut si facile concevoir qu' pr sent, mais aussi plus difficile supporter. Nous sommes environn s de pays entiers d'abrutis anaphylactiques, le moindre choc les pr cipite dans des convulsions meurtri res n'en plus finir.
Nous voici parvenus au but de vingt si cles de haute civilisation et cependant aucun r gime ne r sisterait deux mois de v rit .